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lundi 12 octobre 2015

Biologie Végétale et Médecine



Pourquoi la Biologie végétale en Biologie médicale (Faculté de Médecine) ?

En science Biomédicale, certains autres domaines y interviennent. C’est le cas de l’Education à la Citoyenneté. Et y jouent un rôle favorable (d’une grande importance).
Le domaine de la Biologie Médicale forme des professionnels de santé qui doivent avoir des connaissances fines dans d’autres domaines pour mettre de l’équilibre.

En effet,  que fait la Biologie Végétale en faculté de Médecine, c’est la question. Par définition, la Biologie Végétale, est une science du monde végétal (description des végétaux jusqu’aux moindres détails).
Cette science est d’une importance capitale en Médecine car elle arrive à donner le qu’est-ce des végétaux, leur point fort et faible ainsi que leur position positive et négative sur la santé.
La connaissance des végétaux trouve des multiples applications dans le domaine médical. C’est comme grâce aux plantes, il y a moyen d’obtenir des  médicaments (des antiparasitaires, des antibiotiques, des antiseptiques,….) efficaces pouvant traiter des maladies.
Les végétaux sont des prises dans d’autres cas comme sources d’énergie et de la matière pouvant assurer la réalisation des activités métabolique au sein de l’organisme. Sans oublier aussi qu’ils sont les principales sources d’oxygène nécessaire à la santé.
Eu égard à ce qui précède, la Biologie Végétale a une place importante en science biomédicale car les végétaux y ont une grande application.

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Grace MUHAMIRIZA
Etudiant en Fac. De Médecine
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jeudi 8 octobre 2015

Description des Arachnides



Arachnides

A titre d’exemple : une mouche
    
    a.   Forme générale du corps : les parties
Les caractéristiques générales des mouches sont celles des insectes volants, avec des nuances pour chaque espèce.
 Le terme de « mouche » désigne principalement des insectes volants, ayant une paire d'ailes et classés parmi l'ordre des diptères, avec les moustiques, tipule et autres moucherons. Les mouches sont les diptères du sous-ordre des brachycères et de l'infra-ordre des muscomorphes ou de l'ancienne dénomination des cyclorrhaphes. La mouche ne possède qu'une paire d'ailes ; les deux haltères ou balanciers qu'elle porte en arrière du thorax sont les reliquats d'autres ailes disparues que possédaient ses ancêtres qui étaient plus petites mais reprenaient l'ordre d'équilibre (utile pour la reproduction). Elles ont un corps cylindrique en boule, avec une tête ayant une grande liberté de mouvement.
Une caractéristique des mouches est la veine médiane des ailes (M1+2 ou quatrième longue veine de l'aile) qui montre une courbure prononcée vers le haut ainsi qu'une trompe lui servant à aspirer sa nourriture.
Est un insecte diptère commun (de la famille des muscidés), au corps trapu, velu et généralement foncé, présentant de gros yeux à facettes très rapprochés.


b. Les pattes : nombres et hauteur
Les pattes d'un insecte sont du type uniramé parmi les pattes des arthropodes.
Elles sont toujours au nombre de six (trois paires de pattes). C'est le caractère définissant la classe des hexapodes.
Les pattes sont toujours attachées au niveau des trois éléments du thorax, le prothorax, le mésothorax et le métathorax.
Il y a cinq segments par patte : la coxa, le trochanter, le fémur, le tibia et le tarse (lui-même divisé en articles).
Les pattes servent à la marche de l'insecte. Elles peuvent être porteuses d'organes de sens, permettant l'ouïe, le toucher, le goût



c. Les appendices céphaliques
Les mouches vraies ont des pièces buccales de type suceur, mais un certain nombre d’espèces possèdent également un appareil piqueur (pièces buccales de type piqueur / suceur).
Les mouches, comme les autres diptères, ne possèdent qu’une paire d’ailes.

 

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Grace MUHAMIRIZA
Étudiant en Fac. de Médecine
grace.murhula@gmail.com
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Description des Myriapode



Myriapode

A titre d’exemple : mille pattes (une diplopode)
    a.   Forme générale du corps
Les myriapodes sont composés d'une tête suivie de nombreux anneaux semblables, portant chacun une ou deux paires de pattes. Les myriapodes sont des mandibulates qui peuvent posséder un grand nombre de segments post céphaliques portant chacun une paire de pattes. Chez les diplopodes, les segments sont regroupés 2 à 2, formant des anneaux portant 2 paires de pattes. Les mille-pattes, arthropode terrestre, filiforme
Le corps du mille-pattes est divisé en segments bien marqués dont le nombre varie de douze à plus de cent. La plupart des mille-pattes mesurent de 2,5 à 5 cm de long, mais certaines espèces tropicales atteignent 30 cm.


      b.      Les pattes : nombres et hauteur
Chaque segment porte deux paires des pattes 

c. Les appendices céphaliques
La tête, recouverte d'une plaque de protection, porte une paire de longues antennes, une paire de petites mandibules équipées de crochets et portant des soies, et une paire de maxilles, généralement avec des palpes. Les appendices suivants sont des pattes terminées par une pince pointue dans laquelle s'ouvre une glande à venin. Ces appendices servent à immobiliser et à tuer les proies. Les autres segments portent chacun deux pattes.

Certains mille-pattes possèdent des yeux composés, d'autres ont des yeux simples ou sont aveugles. Les antennes, les soies et certaines parties de la peau sont sensibles au toucher.


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Grace MUHAMIRIZA
Étudiant en Fac. de Médecine
grace.murhula@gmail.com
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Description des crustacés



    Le crustacé

A titre d’exemple : le crabe
    a.    Forme générale du corps : Les différentes parties
Son corps a la forme d'un cercle et est de couleur brune sur le dos et plus pâle sur le ventre. Le mâle est plus gros que la femelle. En dehors de l'eau, il garde de l'eau dans ses branchies pour pouvoir respirer, il ne se sert pas de l'oxygène.

b. Les pattes
Les crabes sont des animaux arthropodes qui signifient que ces pattes sont articulées. Il y a des crabes marins, des crabes d'eau douce et des crabes terrestres. Tous possèdent 5 paires de pattes dont le premier est en forme de pinces. 



c. Les appendices céphaliques
Ils assurent des fonctions diverses (de locomotion –nage ou marche-, de capture de la nourriture, de perception de l’environnement, de respiration, d’accouplement etc.) qui déterminent des adaptations morphologiques extrêmement variées malgré lesquelles on peut y retrouver des éléments structuraux constants. Ils se composent d’une base de deux articles : la coxa (« hanche »), ou coxopodite, insérée latéralement ou ventralement sur le corps à laquelle fait suite le basis ou basipodite sur lequel s’articulent deux rames, l’une externe ou exopodite, composée d’un nombre indéterminé d’articles, l’autre interne ou endopodite composée typiquement de 5 articles : l’ischiopodite, le méropodite le carpopodite, le propodite et le dactylopodite terminal. Ces appendices peuvent en outre porter des expansions : du côté externe, les excites ou épipodites et du côté interne, les endites. Ces derniers constituent notamment les gnathobases, parties masticatrices des appendices buccaux. Les deux articles de la base constituent le protopodite de l’appendice. On y inclut parfois un article proximal par rapport aux deux premiers : la précoxa qui aurait été plus ou moins complètement incorporée à la paroi du corps. Les crabes possèdent un  céphalothorax élargi. Leurs corps segmenté du crabe possède plusieurs paires d’appendices : quatre paires servent à la locomotion et deux d’antennes sensorielles.



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Grace MUHAMIRIZA
Étudiant en Fac. de Médecine
grace.murhula@gmail.com
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